Pourquoi être paresseuse a boosté ma carrière d'assistante freelance: le pouvoir caché de la simplicité stratégique

"Je choisis une personne paresseuse pour faire un travail difficile. Parce qu'une personne paresseuse trouvera un moyen facile de le faire." ― Bill Gates.

Cette phrase résonne en moi car je suis une flemmarde assumée, mais une flemmarde stratégique.

Parce que dans ma vision, la flemme, c’est l’art d’aller à l’essentiel. Et dans le monde professionnel, c’est souvent ce qui fait toute la différence entre être débordée et être brillante sans s’épuiser.

1. La flemme stratégique, c’est mon radar productivité sans stress en tant qu'assistante freelance

Quand je démarre une nouvelle mission, je ne fonce jamais tête baissée. Je regarde, j’observe, j’analyse.

Et très vite, mon cerveau de flemmarde commence à se poser la grande question existentielle :

“Comment faire la même chose… en trois fois moins de temps ?”

C’est là que je repère :

• les tâches répétitives,

• les outils mal exploités,

• les process qui prennent 10 étapes alors qu’il en faut 3.

  
  

En réalité, la flemme ne refuse pas le travail. Elle refuse le travail inutile.

2. Je challenge les process (par amour de l'organisation intelligente)

Être “flemmarde”, c’est aussi être une grande curieuse. Je veux comprendre pourquoi on fait les choses comme ça, et surtout : si ça ne pourrait pas être plus simple, plus fluide, plus agréable.

Résultat ?Je remets souvent les process à plat, je les simplifie, je les automatise, et je crée des systèmes qui font gagner du temps à tout le monde.

Un peu comme si je donnais une cure de minimalisme à la productivité.

3. L’automatisation, ma meilleure amie pour une productivité sans stress

Si une tâche se répète, elle doit être automatisée. Ou au moins simplifiée. Ou, soyons honnêtes… supprimée.

J’adore dénicher des outils qui libèrent du temps, connecter des applis entre elles, ou créer des séquences intelligentes qui font tourner la machine sans que personne ne s’épuise.

Parce que dans mon monde, le travail ne doit pas être une lutte, mais une chorégraphie fluide où chacun se concentre sur ce qu’il fait de mieux.

4. Ma flemme est devenue un moteur de performance pour simplifier son travail

À force de chercher comment “en faire moins”, je me suis mise à en faire mieux.

Moins de dispersion. Moins de tâches inutiles. Plus de structure, plus de résultats.

Et les dirigeants avec qui je travaille le sentent: leurs journées sont plus légères, leurs esprits plus clairs, leurs projets plus alignés.

La flemme, quand elle est bien canalisée, c’est une boussole vers l’efficacité et la paix intérieure.

En conclusion

Être flemmarde ne m’a pas rendue paresseuse. Ça m’a rendue lucide dans mon rôle d'assistante freelance.

Lucide sur la valeur du temps, sur l’importance de la clarté, et sur le fait qu’on peut être ultra-efficace…sans jamais confondre mouvement et progrès.

Et si, au fond, la vraie performance, c’était d’en faire moins, mais mieux ?